Je n’ai pas l’habitude de trop réfléchir sur les sujets « pipoles » mais j’ai été émue par un téléfilm que je viens de voir sur Charlotte Valandrey.
Même si je me permets de qualifier ce film de télégénique, ce qu’il m’en reste, c’est la vie d’une comédienne dont je n’avais jamais compris la disparition du grand écran. J’ai adoré Charlotte Valandrey quand elle a tourné dans « Rouge Baiser » de Véra Belmont : Voir fiche ici : http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=3925
Cette ravissante jeune femme m’avait séduite non seulement par son charme, mais surtout par sa présence à l’écran. Et je me demandais depuis longtemps pourquoi je n’avais plus eu le bonheur de la revoir. Ce récit m’a expliqué comment, malgré toutes ses compétences et ses qualités, elle a pu être exclue du milieu du cinéma pour des raisons de trop grande franchise. Certes, elle fut séropositive, et cela tout au début de l’épidémie. Mais combien d’autres « artistes » l’ont été ou le sont encore ? Pourquoi Guillaume Depardieu a-t-il toujours été protégé des médisances alors que Charlotte en a subi les pires conséquences ? Quand je dis « protégé », j’insiste sur le fait que tous ses déboires ni toutes ses douleurs ne l’ont jamais empêché de tourner. Serait-ce grâce à un discret soutien de son père ? Charlotte n’avait-elle pas assez de personnes connues dans son entourage. Je remercie Dominique Besnehard(http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Besnehard)
d’être le seul à lui avoir permis de tenir la tête hors de l’eau dans son métier. Je suis heureuse de savoir qu’elle a su franchir tous les combats et entre autres celui de la greffe de cœur. En tant que donneuse d’organes, je vous invite à signer la pétition de « Greffe de Vie » et à prendre une carte de donneur.
http://www.greffedevie.fr/petitions/200702_petition.php
Votre décès peut sauver une ou plusieurs vies. Il faut y penser avant que cela ne soit trop tard !